À partir de 2010, l’accent est mis sur les emballages en général (couvercles de boites de conserve et sacs pour les déchets en plastique noire) et leur rapport à l’humain et plus précisément au corps. Des «contenants» suggérant un contenu, un corps humain réduit à une sorte de marchandise, de produit standardisé, de produit de consommation, de produit jetable…
“Le plastique, matériaux miracle de la deuxième moitié du XX siècle, aujourd’hui matériaux le plus polluant de la planète est devenu le fil conducteur de mes œuvres”.